Il est six heures passées quand je sors de l'hôpital. Je ne prends pas le metro – tout le monde est lá. Les rues vrombent comme les lignes à 'haute tension. Le feu dirige la courant. C'est que j'adore: les gens sautent des lits, se dépêchent, se mettent au travail, et moi, j'ai fini deja, je suis libre et tout lajournée est à moi. Je profite de l'air du matin et je peux faire tout ce que je veux aujourd'hui.
Apres 9h ce le moment de la jourée qu' est le plus beau et absolument enchanteur. Tout à coup il fait tranquillement. Les voitures disparaissent, les trottoirs sont vides. On peux entendre le moindre son et on percoit chaque mouvement dans la rue. Les magasins et les cafés sont ouvertes, mais il n' y a personne. Les places assises dans le metro sont libres. C'est tout pour moi seule.
